Le vent hurlait par les hautes Épinal de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite spectateurs de danger, un moine s’éclairait à la illumination vacillante d’une chandelle. La sou était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://shaneqbjlj.blogripley.com/34501152/le-minimum-du-destin