Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son routine, attendait que l’obsidienne parle à contemporain. La pierre black semblait absorber la lumière de lune, vibrer marqué par la pression du vent, et parfois, sans informer, elle résonnait de cette https://donovaneczuo.blogripley.com/34580337/les-traces-effacées