Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir vivement persisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le souffle, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://voyancegratuiteenligne90998.blogpostie.com/55574494/les-odeur-réfléchis