Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre circulaire au milieu de son manufacture. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, laissant les curiosités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tradition. C’était une aspiration lente, une accoutumance née d’un geste familial répété constamment. Les https://rafaelwmloj.post-blogs.com/55128718/les-lignes-calmés